Gymnocalycium quehlianum v. kleinianum Raush
Sous-genre : Trichomosemineum
HUNT (New Cactus Lexicon – 2006) : Taxon non pris en compte
LODÉ (Taxonomy of the Cactaceae – 2015) : Taxon non pris en compte
CHARLES (Gymnocalycium in Habitat & Culture – 2008) : Taxon non pris en compte
TILL, AMERHAUSER & TILL (Gymnocalycium – 2008) : Taxon non pris en compte
Selon le tableau de Graham Evans publié par G. Charles dans The Cactus Explorer 21 (2018)
Gymnocalycium quehlianum var kleinianumest un nom invalide. Il a été listé par Walter Rausch (WR 103b) comme provenant de la Sierra Chica de Cordoba.
Il se distinguerait du type par ses épines petites et rapprochées de la tige. Selon G. Neuhuber, il s’agit de la sous-espèce de Gymnocalycium quehlianum la plus répandue et la plus commune.
Dans leur classification du Genre Gymnocalycium (AGG, Gymnocalycium 26(3)2013:1085-1094) H. Amerhauser et W. Till valident le taxon Gymnocalycium stellatum et lui adjoignent les taxons précédemment décrits comme forme ou variété de Gymnocalycium quehlianumet notamment : Gymnocalycium quehlianum v. kleinianum Rausch nom. nud, qu’il conviendrait de nommer selon ces auteurs : Gymnocalycium stellatum v. kleinianum Rausch ex H. Till et W. Till
En 2021, Wolfgang Papsch retrace l’origine de ce taxon depuis que Haage a dédié cette espèce à Léopold Quehl dans un article paru dans Schütziana 12(2021)1, p. 15-32.
Il considère que Gymnocalycium quehlianum représente un groupe bien distingué au sein du sous-genre Trichomosemineum. Son aspect est très uniforme sur toute sa zone de distribution, constituée d’une bande s’étendant sur plus de 300 km, d’orientation Nord-Sud, et dont l’altitude varie de 1000 m dans la partie méridionale à 350 m dans la partie septentrionale, avec une altitude maximale de 1450 m à l’Est de Candelaria dans la Sierra Grande, dans la Province de Cordoba.
Sur une telle aire, Gymnocalycium quehlianum rencontre des conditions édaphiques différentes, entraînant une légère variabilité de son apparence morphologique : forme de la tige, couleur des épines et des fleurs. Il considère donc que :
- Gymnocalycium quehlianum var. caespitosum var. nov.
- Gymnocalycium quehlianum var. rolfianum Schick
- Gymnocalycium quehlianum var. zantnerianum Schick
- Gymnocalycium quehlianum var. albispinum Bozsing ex Backeberg
- Gymnocalycium quehlianum var. flavispinum Bozsing ex Backeberg
- Gymnocalycium quehlianum var. atroroseiflorum
- Gymnocalycium quehlianum var. brunispinum
- Gymnocalycium quehlianum var. depressum
- Gymnocalycium quehlianum var. kleinianum
- Gymnocalycium quehlianum var. nigrispinum
- Gymnocalycium quehlianum var. roseiflorum
n’ont aucune pertinence taxonomique, il les considère donc comme des synonymes de Gymnocalycium quehlianum sensu stricto