Gymnocalycium andreae (Bödeker) Backeberg 1936
Sous-genre : Gymnocalycium
HUNT (New Cactus Lexicon – 2006) : G. andreae
LODÉ (Taxonomy of the Cactaceae – 2015) : G. andreae
CHARLES (Gymnocalycium in Habitat & Culture – 2008) : G. andreae
TILL, AMERHAUSER & TILL (Gymnocalycium – 2008) : G. andreae
Selon le tableau de Graham Evans publié par G. Charles dans The Cactus Explorer 21 (2018)
Espèce très variable mais rapidement cespiteuse, Gymnocalycium andreae se présente sous différents taxons décrits ci-après dans les pages qui leur sont consacrées, mais Graham Charles ne reconnait aucune sous-espèce et met toutes ces formes au rang de synonymes de l’espèce-type.
La floraison habituellement de couleur jaune d’or est précoce, abondante et spectaculaire. Il existe des formes à fleurs jaune clair, blanches ou roses. Les épines peuvent être longues ou courtes. La spination est également variable.Voir les page suivantes pour accéder aux sous-espèces décrites. * Gymnocalycium andreae v. albiflorum * Gymnocalycium andreae ssp carolinense * Gymnocalycium andreae v. doppianum * Gymnocalycium andreae v. fechseri * Gymnocalycium andreae ssp matznetteri * Gymnocalycium andreae ssp pabloi * Gymnocalycium andreae fa. svecianum * Gymnocalycium andreae v. longispinum Rausch Rapide description de cette forme non illustrée pour l’instant : Taxon de l’aggrégat Andreae distingué par sa tige cespiteuse donnant de nombreux rejets cylindriques et des épines flexueuses pouvant mesurer jusqu’à 4 cm. Ce taxon est mis en synonymie avec Gymnocalycium andreae v. flexispinum Hort. nom. nud. Conseils spécifiques de culture : Ce taxon pousse en altitude dans la nature. Il supporte donc bien le froid en hiver, à condition de rester bien au sec. Il faut éviter une exposition trop ensoleillée et de trop fortes chaleurs. En été il nécessite un arrosage abondant.
Gymnocalycium andreae P 199

Gymnocalycium andreae P 213


Gymnocalycium andreae RFPA 322.02

